Explications scientifiques complètes
Deux médecines cohabitent ; la médecine endogène (médicaments, vaccins), et la médecine exogène ; ostéopathie, acupuncture.
L’étude scientifique des virus et bactéries délivre des certitudes :
Un virus, quel qu’il soit, pour être infectant doit être entier.
Les virus ne sont pas considérés comme vivants car ne pouvant pas se reproduire par leurs propres moyens.
A partir de ces deux constats, le chauffage du sang, qui détruit la partie lipo-protéique, empêche la prolifération de la maladie, le coronavirus ne pouvant plus se multiplier.
Dans le cas des bactéries, leur enveloppe extérieure est en polymère organique. Tous les polymères sont fragiles à la chaleur, qui les déforme. Ce changement d’état empêche la scissiparité (la division par deux), ce qui enraye en quelques heures de traitement la diffusion de la maladie.
Pour Wikipedia :
« Les virus et coronavirus sont constitués d’une enveloppe virale ; une structure externe existant chez certains virus. Elle consiste en une membrane lipidique constituée à partir de la membrane en double couche de la cellule hôte, et de protéines virales qui y sont insérées.
L'enveloppe virale contient habituellement une capside contenant l'acide nucléique viral. Selon l'espèce de virus, l'enveloppe provient de la membrane extérieure de la cellule, ou de celles du réticulum endoplasmique, par exemple de l'appareil de Golgi au sein de la cellule. »
La crise du covid 19 a montré l’absence de solutions médicales endogènes efficaces dans le traitement du Coronavirus.
Pas de médicaments, et l’espoir suscité par les vaccins a fait long feu. Je joins à ce courrier le dernier tableau statistique de l’épidémie (source France infographies, à partir des statistiques de Santé publique France) et des vaccins produit par le ministère de la Santé et repris par France infographie. Ces différents tableaux montrent que les vaccins Jansen, Astra Zeneca et Moderna ont été retirés du marché, parce qu’inefficaces.
Le public, lui, s’est détourné de la vaccination tous les trois mois (du laboratoire Pfizer), au vu des effets indésirables, et lorsqu’il s’est aperçu que ces vaccins n’empêchaient pas la contamination.
En 2024, seuls, 14.1% des professionnels soignants sont vaccinés en Ehpad (Santé publique France, doc 1) !
Alors que l’épidémie a été particulièrement mortelle dans les maisons de retraite.
Explications historiques
Depuis 1985, les poches de sang à destination des transfusions, sont chauffées à 43°, pour éliminer le virus du Sida (VIH), qui comporte aussi du lipide dans sa structure. Les patients qui ont reçu ces transfusions n’ont jamais développé de contamination.
Je ne suis pas médecin, mais un scientifique évoluant dans d’autres domaines.
La médecine est impuissante, mais pas la chimie et la physique !
Les professeurs de médecine chinois ; Huang Li et Wenz Heng, ont montré que le covid 19 est d’abord une maladie du sang.
Isolé, le covid 19 se présente sous la forme d’un ARN entouré d’une capside protégée par l’enveloppe en lipo-protéine.
Tous les chimistes vous le confirmeront : le lipide est une graisse et sa température de fusion est de 40° C ! A cette température, le lipide se liquéfie.
Le sang, pour les physiciens est un liquide turbulent complexe ; turbulent parce qu’à chaque battement de cœur, il est propulsé à 2,5 km/h, et complexe, parce qu’il véhicule des éléments de densités inégales, qui vont se mouvoir à des vitesses différentes provoquant entre eux des frottements, reproduisant la mécanique des fluides, en milieu microscopique, théorème de BOLZMAN.
Dans les premiers jours de l’infection, le covid 19 circule dans le sang avant de se fixer sur les cellules aux défenses immunitaires affaiblies de certains organes.
Essentiellement dans les muqueuses pulmonaires. Ce qui provoque peu à peu une baisse de l’oxygénation du sang.
Une oxygénation du sang supérieure à 95% nous prémunie des germes nosocomiaux que nous portons tous à l’état latent.
Si la faiblesse de l’oxygénation baisse et perdure, ils peuvent se développer. Les maladies nosocomiales ne se développent qu’en milieu hospitalier, dans plus de 90% des cas.
Pour Wikipedia :
«Ces germes ont une caractéristique commune : la résistance aux antibiotiques et à la cortisone. Le cercle vicieux : baisse de l’oxygénation développement des germes nosocomiaux conduit à la mort du malade, dans 30% des cas.
Mais « la plupart des microbes ont une enveloppe composée de polymères organiques (et des matériaux correspondants) qui sont, de par leur structure caténaire, considérés comme des composés « vivants », car sensibles à leur environnement et sujets au vieillissement. La dégradation d'un polymère est le changement, généralement non désiré, de ses propriétés physiques et mécaniques, causé par des facteurs environnementaux plus ou moins agressifs : attaque d'un produit chimique tel un acide concentré, dioxygène (oxydation), chaleur, radiation (photolyse), eau (hydrolyse), contrainte, etc. Ensemble, ces facteurs agissent souvent en synergie. La dégradation peut rendre le matériau inutilisable. »
Santé publique France
« Les virus se caractérisent dans leur immense majorité par leur évolution génétique constante, plus ou moins rapide selon les virus. Elle survient notamment suite à des changements (mutations), ajouts (insertions) ou suppressions (délétions) introduits dans leur code génétique. Pour un virus comme le SARS-CoV-2, l’émergence de variants au cours du temps est donc un phénomène attendu.
Chez un virus, la capside est la structure qui entoure le génome, l'acide nucléique (ADN ou ARN).
Elle est constituée de très nombreuses unités protéiques qui se regroupent pour former des ensembles structurels identiques appelés capsomères.
Le nucléocapside est l'ensemble formé de la capside du virus (présente chez les virus nus ou enveloppés, l'enveloppe ou péplos n'étant pas la capside, mais une enveloppe lipoprotéique entourant la capside) et du génome viral (ARN ou ADN). »
Pour guérir rapidement
Dans les premiers jours de l’infection le malade devra se confiner dans une pièce chauffée à 25°, se coucher tout habillé, sous plusieurs couettes ou couvertures. L’objectif est de faire monter la température périphérique du corps au-dessus de 38°, les effets positifs sont patents.
L’enveloppe du coronavirus est composée d’une très fine épaisseur de quelques molécules de lipide. A partir de ces températures la molécule de lipide hésite entre état solide et état liquide La mécanique des fluides entraîne les frottements avec des corps plus solides en suspension dans le sang, qui déchirent l’enveloppe empêchant les protéines S de fixer le coronavirus sur des cellules de l’organisme, et de proliférer.
Voilà résumé l’invention majeure que je porte, qui va révolutionner le traitement des maladies virales et notamment l’infection par le covid 19.
L’absence de médicaments et de vaccins ne doit pas empêcher une thérapie ciblée, efficace contre le covid 19.
Si le patient a laissé le virus s’installer, l’intervention d’un générateur extracorporel de chauffage du sang sera nécessaire. Le sang extrait du malade par l’appareil est chauffé à 43°, ce qui éradique la majeure partie des germes et virus. Replacé dans le corps du malae, l’action de la chaleur ambiante couplé aux traitements classiques ; masque à oxygène, antibiotiques voire cortisone auront raison des germes survivants.
En dialyse, le sang du malade est extrait à partir d’une artère, filtré par la machine et replacé par une veine dans le corps du patient.
En chirurgie cardiaque, le générateur extracorporel assure la circulation sanguine pendant l’arrêt du cœur.
Le générateur extracorporel de chauffage du sang extraira le sang, le chauffera à 43°, en l’accélérant pour renforcer l’effet « mécanique des fluides » puis, après un refroidissement, le sang sera réintégré dans le corps du malade. Cette technique sera très efficace pour éliminer la charge virale.
Conclusion
La guérison des pathologies liées aux virus, coronavirus et microbes, par un instrument sans effets indésirables est en marche.
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